.........................................
Lors d'une sortie longue et difficile, il peut être intéressant d'utiliser plusieurs techniques de pédalage de manière à solliciter des fibres musculaires différentes et à ne pas épuiser toujours les mêmes.
C'est la position qu'on adoptera le plus.
Elle permet un pédalage "rond" et sollicite plusieurs muscles puisqu'on est censé forcer perpendiculairement sur toute la rotation.
Elle exige une bonne souplesse de la cheville.
Les mains agrippent les "cocottes" de frein ou le creux du cintre et peuvent tirer le guidon pour plus de puissance.
Elle permet surtout une bonne fréquence de pédalage (de 80 à 100 t/mn, ou plus pour une accélération) .
2. Assis en arrière de la selle :
Parfois,on est contraint de pédaler "dans le dur", à cause d'une forte pente, même avec le 34/28.
Cette position va permettre de pousser la pédale vers l'avant, pointe du pied relevée.
La fréquence de pédalage est faible dans cette position (40 à 60 t/mn)
Ce sont les muscles fessiers qui vont travailler le plus.
Il faut être fermement arrimé à la selle et repousser le guidon vers l'avant, les mains sont sur le haut du cintre assez serrées.
3. Assis "bec de selle" :
Pour lutter contre un vent violent, il vaut mieux être aplati sur sa machine, en position avancée, les mains au creux du cintre, et "enfoncer" les pédales vers le bas .
La fréquence de pédalage peut être bonne mais irrégulière, on pédale "en piston".
Travail des quadriceps.
4. Debout bien droit :
Dans un col, pour soulager certains muscles (le fessier notamment), on peut adopter cette position.
Les mains sont sur le haut du guidon mais écartées et balancent le vélo de droite à gauche.
Le poids du corps va permettre d'enfoncer chaque pédale alternativement.
La fréquence de pédalage est bien sûr très faible.
5. Debout penché vers l'avant :
Pour accélérer violemment, en côte ou sur le plat.
Les mains sont sur les cocottes ou au creux du cintre, le poids du corps repose sur le guidon et permet donc une bonne fréquence de pédalage.
Tirer les pédales (le talon) vers l'arrière et le haut.
Travail des ischios-jambiers.
Qui a dit que le vélo était un sport monotone ?
Si l'on ajoute à ces techniques différentes intensités et récupérations, on n'a pas le temps de s'ennuyer.
Et puis, il y a le paysage !
J'ai recensé 5 façons de pédaler :
1. Assis normalement au milieu de la selle.C'est la position qu'on adoptera le plus.
Elle permet un pédalage "rond" et sollicite plusieurs muscles puisqu'on est censé forcer perpendiculairement sur toute la rotation.
Elle exige une bonne souplesse de la cheville.
Les mains agrippent les "cocottes" de frein ou le creux du cintre et peuvent tirer le guidon pour plus de puissance.
Elle permet surtout une bonne fréquence de pédalage (de 80 à 100 t/mn, ou plus pour une accélération) .
2. Assis en arrière de la selle :
Parfois,on est contraint de pédaler "dans le dur", à cause d'une forte pente, même avec le 34/28.
Cette position va permettre de pousser la pédale vers l'avant, pointe du pied relevée.
La fréquence de pédalage est faible dans cette position (40 à 60 t/mn)
Ce sont les muscles fessiers qui vont travailler le plus.
Il faut être fermement arrimé à la selle et repousser le guidon vers l'avant, les mains sont sur le haut du cintre assez serrées.
3. Assis "bec de selle" :
Pour lutter contre un vent violent, il vaut mieux être aplati sur sa machine, en position avancée, les mains au creux du cintre, et "enfoncer" les pédales vers le bas .
La fréquence de pédalage peut être bonne mais irrégulière, on pédale "en piston".
Travail des quadriceps.
4. Debout bien droit :
Dans un col, pour soulager certains muscles (le fessier notamment), on peut adopter cette position.
Les mains sont sur le haut du guidon mais écartées et balancent le vélo de droite à gauche.
Le poids du corps va permettre d'enfoncer chaque pédale alternativement.
La fréquence de pédalage est bien sûr très faible.
5. Debout penché vers l'avant :
Pour accélérer violemment, en côte ou sur le plat.
Les mains sont sur les cocottes ou au creux du cintre, le poids du corps repose sur le guidon et permet donc une bonne fréquence de pédalage.
Tirer les pédales (le talon) vers l'arrière et le haut.
Travail des ischios-jambiers.
Qui a dit que le vélo était un sport monotone ?
Si l'on ajoute à ces techniques différentes intensités et récupérations, on n'a pas le temps de s'ennuyer.
Et puis, il y a le paysage !
