28/06/2009

TOUR DE L'HERAULT 4 : FRONTIGNAN - NARBONNE



Quatrième et dernier jour ! On rentre à la maison.
Un bel itinéraire à partir d'AGDE le long du canal du MIDI.

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Mais avant, il faut "sortir" de FRONTIGNAN, sans trop galérer et, surtout, en empruntant les routes les moins fréquentées possibles.

"Gps, gps magique, peux-tu nous dire si tu connais cette route idéale ?
_ Yes, of course, follow me ! Hello ! Le soleil brille, brille, brille ! Hello ! ..." (sifflé)

C'est un gps américain, il fanfaronne toujours un peu.
Mais dans le cas présent, je reconnais qu'il a été à la hauteur,
enchainant carrefours à droite, à gauche, ronds-points, voie d'accès à 360 °, ...

A la vue du panneau "MEZE 9 KM",on a su qu'on était tiré d'affaires.

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Le passage près de BOUZIGUES et de l'étang de THAU a du rappeler à Alain les bonnes huîtres qu'il a dégustées la veille, un peu trop peut-être ...
Mais où est-il en ce moment ?
C'est lui qui, en effet, est au volant du fourgon en tant que chauffeur n°6.
"Miroir, miroir magique, peux-tu nous dire si tu vois le fourgon ?
_ Oui, je le vois ... loin ... très loin derrière ..."
Sacré Alain, il a du emmener Jackie à la plage !

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Après MEZE et MARSEILLAN, on arrive à AGDE.
On s'installe à la terrasse d'un bistrot et on fait chauffer les portables pour contacter Alain et Jackie qui restent sourds à nos appels.
Un groupe en profite pour visiter le quartier, la cathédrale ST ETIENNE, un mur en trompe-l'oeil.

La communication est enfin établie, le fourgon se trouve sur la petite route du parc d'attractions, nous les rejoignons bientôt..

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Lucky Luke qui tient en joue les Dalton, grande roue, chenilles, tout ce qu'il faut pour distraire les estivants nombreux dans le coin.

Nous traversons la route de PORTIRAGNES PLAGE et nous retrouvons un lieu plus paisible sur une piste cyclable le long du canal du Midi cher à RIQUET.

Le fourgon, qui avait du passer de l'autre côté, sur une route parallèle, nous rejoint à la faveur d'un pont et il va nous suivre jusqu'à SERIGNAN sur une petite route communale.
On assiste à la première, et la seule crevaison, elle a jeté son sort sur ... Janot.

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On débouche juste en face du pont sur l'ORB, qui est en travaux, ce que l'on savait, mais bonne nouvelle, les deux-roues peuvent passer, ce qui oblige Alain à un détour, le fourgon nous rejoindra de l'autre côté.


Dernier casse-croute, bien à l'ombre car il fait chaud ce mardi, les "cubis" tiennent le coup, tout va bien.

Les bistrots sont nombreux en centre-ville, mais le stationnement délicat : on s'arrêtera à VENDRES, à 3 km, que l'on rallie sur une piste cyclable de bout en bout, sympa.

Après avoir traversé LESPIGNAN ET NISSAN, dernier arrêt à POILHES, près du canal, où Henry, chauffeur n°7, et Jackie se sont installés avec boissons fraîches et en-cas éventuels.

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Les 10 km qui séparent CAPESTANG de CUXAC, d'habitude si languissants, passent très vite, le vent, que l'on craignait, nous pousse, on plaisante pour finir en beauté.
"Puisqu'on est en avance, on ira faire le tour de l'étang de BAGES .... On peut aussi escalader les Hauts de Narbonne des deux côtés pour remplacer le Mont ST CLAIR ..." Rires.

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A CUXAC, le groupe se scinde une première fois, Henry et Jackie ramènent le fourgon au garage, plus que dix.
Alain et Janot filent sur SALLELES, ST MARCEL, MARCORIGNAN, plus que huit.
Au rond-point à l'entrée de NARBONNE, Richard et Eliane prennent la 3e sortie, nous la 2e vers la gare et les Trois ponts, plus que six.
Place des PYRENEES, Henri, François et Marc nous disent au revoir, on n'est plus que trois.
Enfin, Jean nous quittant au bas des Hauts de Narbonne, nous restons deux à tenir parole et à escalader l'avenue avec ses 7 % de moyenne, maxi à 15 % !

Tous les artistes ont quitté la scène, le rideau tombe.
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Clap ! clap ! clap ! Applaudissements du public.
Le rideau se lève à nouveau, ils sont là, tous les 13, ils se donnent la main et saluent en même temps.

"La pièce en quatre actes que nous avons eu le plaisir de jouer devant vous
a été écrite par ... Janot ! clap ! clap ! clap !

Pour le gîte et le couvert ... François ! clap ! clap ! clap !

Assistante en tous genres ... Jackie ! clap ! clap ! clap !

Pour le prêt du fourgon ... Henri ! clap ! clap ! clap !

Accompagnateur le 1er jour, 2e véhicule le 2e jour ... Albert ! clap ! clap ! clap !

Dans les rôles féminins ... Carmen et Eliane ! clap ! clap ! clap !

Dans les rôles masculins ... Alain, Georges, Henry, Jean, Marc et Richard ! "

clap ! clap ! clap ! clap ! clap ! clap !clap ! clap ! clap !clap ! clap ! clap !clap ! clap ! clap !

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Chanson à télécharger (1,9 Mo)

L'HERAULT à AGDE

Un joli mur à AGDE

Joe, qu'est-ce qu'on fait ? Prends-lui son arme, imbécile !

Grande roue, chenilles

Un véritable village d'attractions

Bon appétit ! (pont de SERIGNAN)

POILHES

Un raccourci des quatre jours dans l'HERAULT

27/06/2009

TOUR DE L'HERAULT 3 : ST BAUZILLE - FRONTIGNAN



Aujourd'hui, départ à 8h30 pour une étape de récupération de 72 km (prévus), un col et quelques côtes, le tout avec vent favorable.

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Les sacs sont à nouveau chargés dans le fourgon, piloté ce matin par Marc, chauffeur n°4, secondé par Jackie l'inamovible.
Chacun récupère son vélo, ils avaient été rangés dans une salle de réunion, vérification de la pression des pneus, le plein d'énergie a été fait juste avant au restau sous la forme d'un solide p'tit dèj, et c'est parti droit vers le sud, la route des plages, des vacances.

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Ces dernières ne durent pas très longtemps, puisque le col de la CARDONILLE se profile à l'horizon.
Rien de bien méchant mais, tout de même, 6 km en 2 paliers, ça oblige à s'activer quelque peu dès le début.

Le principal col étant passé, la suite va être une succession de côtes et de descentes pendant la première moitié du parcours.

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Après 4 km de descente et une petite montée, nous voici à ST MARTIN DE LONDRES.
Figurez-vous que le nom de ce village n'a aucun rapport avec la capitale anglaise mais provient d'une déformation du patois "dundras" signifiant terres marécageuses et désséchées !

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Pour traverser VIOLS LE FORT, la consigne est claire : les deux dames doivent impérativement rester blotties au milieu du peloton et les messieurs ne se mettre en danseuse sous aucun prétexte, même si l'entrée du village est en forte montée, ce qui ne doit pas être le fruit du hasard.

C'est bon, vous pouvez vous décontracter, on n'a pas été suivi.
Petit arrêt au bistrot de MONTARNAUD avant une dernière côte de 3 km et la plongée sur MURVIEL LES MONTPELLIER puis PIGNAN.

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A partir de maintenant, le parcours va être presque toujours plat et après COURNONTERAL, nous arrivons à MONTBAZIN où nous attendent Jackie et Marc qui ont déniché un coin à l'ombre.

Il fait chaud, on boit, on mange, on boit à nouveau, les "cubis" font merveille pour la circonstance.
On a le temps, on est à moins de 20 km de FRONTIGNAN mais tout a une fin.
Richard prend la place de Marc et la casquette n°5.

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Après GIGEAN, POUSSAN et BALARUC LE VIEUX, ça y est, on sent l'air frais du large.
Dans ce dédale de routes, le gps nous a amené directement à la zone LA PEYRADE où se trouve notre hôtel, à 3 km au sud de FRONTIGNAN.

Mais il est encore trop tôt pour s'y rendre.
Des projets voient soudainement le jour : on pourrait faire le tour de l'étang, 10 km, c'est pas la mer à boire ; on pourrait gravir le MONT ST CLAIR, c'est à côté, on le voit d'ici.

Après discussions, on décide de faire les deux, pourquoi se priver, dans cet ordre.

Je vous préviens, mon gps n'est pas programmé pour nous guider.
On se débrouillera.

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C'est parti, dans la mauvaise direction puisqu'un panneau "Interdit aux vélos" nous arrête.
Par chance, on a repéré par pur hasard l'emplacement de l'hôtel POINT BLEU, une bonne chose de faite.

On repart dans la direction inverse, on traverse une bonne partie de FRONTIGNAN, avant d'obliquer à droite vers la mer et un étang qui s'avère être l'étang des MOUETTES.
Après un petit tour, on revient par le même chemin.
La distance de 10 km est largement dépassée.

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De retour dans la zone LA PEYRADE, le MONT ST CLAIR nous tend les bras, mais la motivation n'est plus là, 90 km au compteur, on remet ça au lendemain, c'est-à dire aux calendes grecques, et direction l'hôtel qui est à deux pas.

Jackie et Richard n'ont pas suivi nos pérégrinations, ils ont déjà abordé le réceptionniste, à la mine "pas tibulaire". Dès que nous arrivons, c'est au tour de François d'affronter le "monsieur pas poli pas gentil".
La discussion tourne autour du local à vélos.
"On a un local pour 2 vélos."

On n'insiste pas, on vide le fourgon, on range les vélos, on remet tout le matériel, en se disant bien que, demain matin, il faudra faire l'inverse.
L'hôtel est illico baptisé Hôtel Point Noir.

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Chacun prend possession de sa chambre, pour un "deux étoiles", ce n'est pas mal du tout : grand lit, autre lit sur une mezzanine, télé satellite, ventilateur à télécommande, sèche-cheveux, baignoire ...
Terrasse au rez-de-chaussée au bord d'un étang (encore un !) squatté par des canards et des mouettes.
Enre-temps, la patronne , une Suissesse souriante et patiente, aura remis tout le monde d'accord.

Le Point Noir est en train de virer à nouveau au Bleu, ce qui sera confirmé au repas du soir, avec buffets à volonté de hors d'oeuvre et de desserts, des serveuses charmantes.
L'ambiance est revenue et ne nous quittera plus.

Dès le départ

La tour de ST MARTIN DE LONDRES : pas BIG BEN

Le rouge et le noir

Point Noir puis Point Bleu

Vue de la terrasse

Un bel étang

Le restaurant

La chambre

26/06/2009

TOUR DE L'HERAULT 2 : FRAISSE - ST BAUZILLE




Le matin, dès potron-minet, tout le monde est d'attaque dans les 2 chalets, certains se plaignent un peu de la tête, on met ça sur le compte du canard, d'autres de leur nez, on sait pourquoi, mais il faut ranger, embarquer les sacs et aller déjeuner à 7h à l'auberge.

La journée s'annonce rude, c'est à la fois la distance la plus longue, 143 km, et le plus fort dénivelé, environ 2000 m, maigre consolation, le vent est favorable.

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D'entrée, le col de FONTFROIDE, 4 km, maxi à 8 et 10 %.
Au sommet, il fait froid, ne nous attardons pas, cap vers CAMBON ET SALVERGUES, 10 km en légère montée après une courte descente.

Je crois bien que c'est sur cette route qu'une biche a traversé juste devant nos roues !

S'ensuit une très longue descente de 28 km.
Au passage, un petit arrêt à LA CROIX DE MOUNIS et son panorama, puis traversée de ST GERVAIS SUR MARE et de ST ETIENNE D'ESTRECHOUX.

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Petite côte avant LA TOUR SUR ORB, puis LE BOUSQUET D'ORB où nous accompagnons Alain qui va rendre une petite visite à sa soeur et à son beau-frère.

Le col suivant, la BARAQUE DE BRAL, monte sur 6 km avec plusieurs maxi à 10 %.

Jackie avec François, qui a endossé l'uniforme de chauffeur n°3 pour la journée, nous attendent au sommet.
Albert est également là, avec sa voiture, il a tenu à voir sa courageuse femme à l'oeuvre, il ne sera pas déçu.

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Une bonne descente de 8 km, et on est à LODEVE où on s'arrête à côté du stade, à l'ombre, pour reprendre des forces avec fruits, jambon, fromage.
J'allais oublier, il y a aussi quelques "cubi" de rouge et de rosé.
Nous rejoignent Géraldine et Emmanuelle, les deux filles de Richard, avec leur mari et un bébé superbe, Gabriel.

Là aussi, on n'est pas très pressé de repartir.

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On a 12 km en montée à parcourir : SOUBES, ST ETIENNE DE GOURGAS et enfin ST PIERRE DE LA FAGE et le plateau.

Récupération autour du fourgon, puis on enchaîne sur les 16 km suivants, assez plats mais avec un fort vent de côté, rendu pénible par la présence d'une ligne droite anormalement longue de 8 km !

Il est presque 16h, ça y est, on est au bord du cirque de NAVACELLES que beaucoup ne connaissent pas.

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Après l'émerveillement du lieu, 2 clans s'affrontent, les "pour" et les "contre".
Le vent, toujours aussi violent, effraie une bonne moitié du groupe, qui craint d'être projeté sur les falaises abruptes.
Des gens du coin nous rassurent, il n'y a aucun risque, allons-y !
Attention ! Descente de 3 km, vertigineuse au départ, puis 3 km de montée, avec un maxi à 15 % dès le début, attention au braquet ! 1 km de descente, 1 km de montée finale .

C'est gagné pour tout le monde, avec une mention spéciale aux 2 féminines, captain Janot est super content, on a été à deux doigts de renoncer !

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Les 30 derniers km sont une formalité, par BLANDAS, MONTDARDIER, ST LAURENT LE MINIER (une belle descente, une piscine naturelle fantastique), GANGES et ST BAUZILLE DE PUTOIS que nous atteignons après avoir longé l'HERAULT sur plusieurs km avec des coins baignades à n'en plus finir !

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Il n'y a que nous dans le centre de vacances LES LUTINS CEVENOLS.
Les chambres sont correctes, le repas complet, la jeune serveuse sympa, rien à dire.

Il faut reconnaître que les émotions de la journée ont été nombreuses et fortes.
Aussi, après une petite virée dans le centre-village, et la dégustation d'une bonne glace magnum, chacun a regagné ses pénates sans se faire prier.

Le site Internet de ST BAUZILLE
Le site Internet du centre LES LUTINS CEVENOLS

L'église de ST MARTIN D'ORB vue du jardin de la soeur d'Alain !

Panorama près de la croix de MOUNIS

Dans le col de la BARAQUE DE BRAL

Henri escorte ces dames

Le moulin au bout de la longue montée jusqu'à ST PIERRE DE LA FAGE

NAVACELLES, 300 m plus bas à pic, brr !

Le village de NAVACELLES (zoom 10x)

A cet instant, la décision n'est pas encore prise.

ST LAURENT LE MINIER

Le repas au centre de vacances

TOUR DE L'HERAULT 1 NARBONNE - FRAISSE SUR AGOUT



7h28, tout le monde est là, sur le parvis du Palais du Travail, sauf Jean, promu chauffeur n°1, avec Jackie sa copilote et les 2 Marcorignanais.
Allons-y !

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A l'entrée du village, Janot et Alain nous attendent impatiemment.
Une belle et longue journée s'annonce, vent dans le nez, pour onze cyclos motivés ...

Après avoir longé le canal du Midi, traversé OLONZAC et PEPIEUX, nous voici à FELINES la bien nommée, nous y avons en effet rencontré une forte majorité d'habitantes ...
Il faut s'arrêter là, vote le groupe, la majorité étant inversée ...
"Préparez-nous un bon café, on arrive !" lance à la cantonnade je ne sais plus qui, à l'adresse de la belle épicière.
Dix minutes plus tard, alors qu'on se demande où l'on va bien pouvoir prendre notre petit noir indispensable, voilà que notre belle épicière nous apporte sur un plateau une carafe de bon café avec gobelets, et tout ça gratuitement !
On l'aurait tous embrassée, on n'a pas osé.

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On est au KM 45, les difficultés commencent avec la côte de St JULIEN DES MOLIERES, puis celle de FERRALS LES MONTAGNES jusqu'au col de SERIERES.

Descente sur ST PONS DE THOMIERES avec, au passage, le col des USCLATS.

Le fourgon est au rendez-vous, bravo JEAN et JACKIE, car c'est le moment de casser la croûte !
Une cagnotte a été constituée, JACKIE se charge de nous sustenter jusqu'au repas du soir, et ce n'est pas une mince affaire, l'activité cycliste décuplant l'appétit de certains.
La collation se prolonge, il suffit en effet de pencher un peu la tête pour apercevoir les premiers lacets du col qui nous attend de pied ferme, on n'est pas pressé d'en découdre !

On s'amuse un moment avec les truites qui foisonnent dans la rivière qui passe à nos pieds, elles se jettent voracement sur tout ce qu'on leur lance, en l'occurence des restes de melon.

On fait encore durer le plaisir en s'installant sur la terrasse d'un bistrot mais, rien à faire, il faut y aller.

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Albert, qui nous avait accompagné jusque là, rentre sur NARBONNE par obligation familiale, Jean, de chauffeur n°1 redevient simple cycliste, Janot coiffe la casquette de chauffeur n°2, on se souhaite bonne chance et on attaque les 10 km de montée jusqu'au col du CABARETOU.

Principale difficulté, le vent.
Au sommet, ce n'est pas encore gagné, Eole redouble de violence.
On devra le combattre encore 14 km, jusqu'à LA SALVETAT SUR AGOUT, où, enfin, nous pourrons rallier FRAISSE SUR AGOUT en roue libre.

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A l'arrivée, deux chalets de six places nous attendent, le "Georges BRASSENS" et le "Guillaume APOLLINAIRE".
Une seule douche par chalet : Marc, étant catalogué comme "prenant son temps" passera le dernier ...

Quand tout le monde est prêt, visite du village, super fleuri, belle expo de moulins à eau, de beaux chalets ...

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Le repas à l'auberge de l'ESPINOUSE a tenu ses promesses, Alain, boute-en-train sans pareil, s'en donne à coeur joie, si bien que, le vin aidant, les mines virent au ton coquelicot.
"Pas de photos, les épouses pourraient croire certaines choses ...
_ Pas de problème, j'ai un bon logiciel pour estomper les couleurs.

La nuit a été plutôt calme, pas de cauchemar du genre "Au secours, à moi, une pente de 45 % !", pas de fanfare à dominante trompette nasale ou sinon très vite réprimée "Tiens,prends ça dans le nez!", les ronfleurs ont été reconnaissables le lendemain matin à leur nez sanguinolent.

Les deux super féminines du groupe

Groupir !

Jackie est à son affaire !

Après avoir affronté le Cabarétou !

Une table de jardin bien décorée

Le pont Mirabeau

Expo de moulins à eau

Après le canard ...

Une dernière gâterie, Monsieur BRASSENS :
à télécharger (2 Mo)

11/06/2009

BIARRITZ, ESPELETTE, AINHOA

Mon nouveau fond d'écran (BIARRITZ)

Dernier article sur le séjour au Pays Basque, 2 sorties en bus le vendredi 5 juin, veille du départ.

Le matin, visite à BIARRITZ, sous un crachin ... breton.

Pour commencer, la "villa" (!) Eugénie (du nom de l'Impératrice épouse de Napoléon III), construite en 1853, devenue depuis l'Hôtel du Palais.
Explications fournies par Bernard, résidant à ANGLET.


Pendant que nous longeons le littoral et après avoir admiré le Rocher de la Vierge, certains empruntent le petit train touristique pour une visite de 30 mn.

Tout le monde se retrouve à l'heure dite sous le hall de l'Hôtel de Ville.
Le bus tarde à arriver, Yves se retrouve pour la deuxième fois embarqué dans des rues où un véhicule de cet envergure ne peut pas manoeuvrer, et c'est parti pour une marche arrière d'anthologie au milieu de voitures mal garées!

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L'après-midi, le beau temps revenu, petite virée dans les villages alentour : ASCAIN, ST PEE SUR NIVELLE, SOURAIDE, ESPELETTE, AINHOA.

Visite touristique bien sûr, mais surtout à la recherche de souvenirs pour les parents ou amis, la vedette étant le piment séché à suspendre dans un but décoratif.

La sortie s'est même poursuivie de l'autre côté de la frontière, dans le but de refaire le plein d'alcools, à se demander si les bidons de certains cyclos contiennent bien de l'eau claire ...

Le lendemain, les sacs pleins à craquer, qu'il a fallu trainer jusqu'au car, témoignent de cette frénésie d'achats assouvis.
La crise, quelle crise ?


Villa Eugénie, puis Hôtel du Palais

Eglise Ste Eugénie








ESPELETTE



Clocher de l'église d'AINHOA

Cimetière attenant

Ovejas