25/04/2010

RANDONNEE DU 25 AVRIL .... AVEC LES RANDONNEURS NARBONNAIS



Dimanche 25 avril 2010, journée ex-cep-tion-nelle !
Grâce à ... je ne cite personne, vous les verrez sur les photos !
Météo, parcours, fléchage, ravito, repas, ... tout était parfait !

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Dès 7h, on démarre de Moussan avec Philippe et Nelly.
Jusqu'à PAGUIGNAN, rien de spécial, profil plat.
Les affaires sérieuses commencent là.
Un petit kilomètre de montée jusqu'à VIALANOVE,
puis trois bons km jusqu'au carrefour de St Martial (la croix) avec quelques pourcentages bien sentis.

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Quatre km plus loin, encore des bosses et c'est le ravito.
En dix minutes, on a le temps d'avaler un sandwich au pâté, une tartelette, du pain d'épice, du chocolat, du café, ..., de parler avec tous ceux qu'on n'a pas vu au départ, stop ! on s'en va, il y a du chemin à faire !

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Plus que 4 km jusqu'au sommet du col de Ste Colombe, la 1ère partie est dans la poche.
Voyons la suite.
Descente sur 9 km, on est à ST PONS-DE-THOMIERES.
La perspective de la sortie de la ville est impressionnante, ça monte sur 1 km, petit plateau de rigueur, enfin, je parle pour moi, vous faites ce que vous voulez !

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A COURNIOU, on attaque le col de la Fenille, 3,5 km, sur la D612 qui va à MAZAMET, donc assez fréquentée, même le dimanche.
On traverse LABASTIDE-ROUAIROUX et on arrive à ... LACABAREDE.

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Tout le monde ne parle que de cette côte, de 2 km environ, presque 10 % de moyenne, mais avec des pointes dans le premier km, selon certains, jusqu'à 18 et même 20 % !
Un seul remède, le 30x27 !

Regroupement au carrefour d'ALBINE, avant d'attaquer la dernière partie difficile, 6 km à presque 5 % de moyenne, pas très dur mais usant, jusqu'au col de Sales, où nous passerons du Tarn à l'Hérault.

Maintenant, la récompense, 11 km de descente, par le roc SUZADOU, PEYREFICHE, FERRALS-LES-MONTAGNES.

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Allez, vous reprendrez bien une petite côte, la dernière, un peu plus d'un km, juste avant d'arriver à SAINT-JULIEN-DES-MEULIERES ...

La deuxième récompense nous attend sous la forme d'un plateau-repas bien garni, préparé par ... voyez les photos.
Pique-nique dans l'herbe, sous un soleil ardent, le rêve !

Une heure plus tard, on n'est pas d'ici, il faut repartir, les jambes un peu lourdes, l'estomac aussi, mais on connaît la suite, descente puis plat jusqu'à l'arrivée.

C'est gagné, bravo à tous, mais que va donc nous concocter maître Jean comme parcours en 2011 ?

Le chemin de croix ... 1ère station

Après le carrefour de ST MARTIAL, la route serpente ...

Deux grands maîtres ès-circuits et ès-ravitos

Sont-ils pas accueillants ?

Le chemin de croix ... 2e station

Et oui ! A ST PONS, ça monte encore !

Un de plus !

Sous l'Arc de Triomphe

En 1944, 30 usines de textile à LABASTIDE-ROUAIROUX !

Rencontré juste avant la côte de LACABAREDE :
"Vous ne savez pas ce qui vous attend, les amis !"

Eh ! On ne discute pas quand ça monte à 18 % !

Au carrefour d'ALBINE, ce n'est pas fini !

Ah ! L'eau rafraîchissante !

Au col de Sales, on est encore dans le Tarn ... pas pour longtemps !

A St Julien, ça commence à sentir bon !

Suis-je invité ?

Non ! Désolé ! On est trop nombreux !

Y a le feu !!!

On a faim ! On a faim !

Un le plateau, deux les chips, trois le pain, ...

Ne mangez pas si vite !

Scoop ! Antoine, avec une carafe d'eau !

Maman, quand je serai grand, j'aurai un vélo comme eux ?

19/04/2010

LE PRINTEMPS DE LAGRASSE 2010 ...DIMANCHE



La leçon de la veille a été retenue.
Départ une heure plus tard, gants longs.
Etrangement, il fait moins froid, alors que le ciel est brumeux.

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Un petit groupe se forme avec Brigitte et Jean-Pierre, ainsi que d'autres cyclos venus de Laroque d'Olmes, à côté de Lavelanet, une heure et demie en voiture !


Après Serviès-en-Val, un carrefour se présente, mon gps me dit d'aller à gauche vers Labastide-en-Val, le groupe tourne à droite, on les retrouvera plus loin, au ravito.
C'est sur cette route que j'ai pris en photo un taureau qui me défie du regard, prêt à charger, ne nous attardons-pas ...

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A Villar-en-Val, ça y est, le col de Taurize (rien à voir avec le taureau rencontré) se présente à nous.
Cinq kilomètres à moins de 5% de moyenne, petite route tranquille, pas de voitures.
Dommage, le brouillard recouvre les abords, impossible de scruter le paysage.
J'ai enlevé mes gants longs pour la montée, je le regrette ensuite car la descente, sur 8 km, est fraîche, entièrement embrumée, on n'y voit pas à 50 m.
Molières-sur-l'Alberte passe presque inaperçue.

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A l'embranchement de Greffeil, Alain et Jean-Claude ont installé leurs tréteaux, le brouillard s'est estompé.

Ce n'est qu'après Ladern-sur-Lauquet, à 10h, que le soleil fait son apparition.

A Saint-Hilaire, il faut que j'aille voir de plus près l'ancienne abbaye :
http://pagesperso-orange.fr/abbayedesainthilaire/

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A la longue descente va succéder une longue montée, en plusieurs paliers , passant de 175 m d'altitude à plus de 600 m au col de la Louviero.


Nous traversons d'abord Villebazy et attaquons le Pas-de-la-Crouzette, 2 km à 7% de moyenne.
Dans la côte, un cyclo, que je ne connais pas, titube devant moi, il va tomber, non, il réussit à poser le pied à terre et à descendre de vélo.
En voulant changer de plateau, sa chaîne a sauté.
Au moment où il s'apprête à l'empoigner à pleines mains, j'interviens : Ne touchez à rien !
J'actionne le levier de vitesse comme pour passer le grand plateau, je tourne délicatement les pédales, miracle, la chaîne remonte sur le plateau.
Une poignée de mains (propres) et c'est reparti.

Petite descente vers Belcastel-et-Buc, avant de remonter sur 3 km.
Au carrefour, des cyclos reprennent leur souffle, je demande :
Vous passez par Villardebelle ?
Non, on tourne à gauche vers Caunette-sur-Lauquet.
J'hésite, mon gps me dit de tourner à gauche, lui-aussi, c'est d'accord, on les suit.
J'apprendrai plus tard que Thierry et Xavier ont laissé le groupe de Rémy à cet endroit pour prendre à droite et se colleter au "mur" de Villardebelle, ce qui les condamnera à finir le parcours tous les deux, chapeau !

Après une courte descente, on remonte sur 2 km, traversons Caunette et abordons la dernière partie du col de la Louviero, 3 km, les plus durs puisque ce sont les derniers.

Il reste 27 km jusqu'à Lagrasse, on prend le temps de grignoter une moitié de sandwich et c'est parti pour le final.

A Lagrasse, Thierry et Xavier terminent leur casse-croute, nous faisons de même avant de prendre un (bon) café ensemble.
Xavier, qui est toujours de nationalité Belge, ne sait pas encore qu'un autre Belge, Gilbert, va remporter l'Amstel Gold Race de la plus belle des manières.


Quoi , qu'est-ce qu'elle a ma gueule ?

La descente du col de Taurize ...dans la purée de pois !

Du réconfort apporté par Alain et Jean-Claude

L'église abbatiale de St Hilaire

Au loin, Greffeil et la forêt de Castillou

Dans la descente de l'ardu Pas de la Crouzette, après Buc

Qu'elle est verte, la vallée !

Ouf ! C'est le dernier col ! (avec des cyclos très sympas)

Le vainqueur à Lagrasse heu ! ... à l'Amstel.


Johnny Hallyday Ma gueule live
envoyé par IAOpaline. - Regardez d'autres vidéos de musique.

18/04/2010

LE PRINTEMPS DE LAGRASSE 2010 ... SAMEDI



Il ne faut pas rater le samedi du Printemps de LAGRASSE, organisé par le Codep AUDE, qui nous permet de "visiter" les Hautes Corbières avec ses riches mais rudes paysages.
Mais il vaut mieux être bien entraîné si l'on veut les apprécier à leur juste valeur.

Cette année a été particulièrement réussie : météo au-delà de toute espérance, convivialité, repas succulent, ...

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La première heure nous a tous surpris : il fait 2° !
Heureusement, le col de Termes est là pour nous réchauffer après une quinzaine de kilomètres grelottants.
Mais on serre les dents, on sait que le soleil va bientôt se mettre de la partie.

Au col de Bedos, Jean-Claude nous attend avec du pâté, du quatre-quarts, chocolat, pâtes de fruits, café chaud et j'en passe ...

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La suite ne sera qu'une succession de montées et de descentes, voir profil.

Au passage, ne pas oublier d'admirer, mais de très loin, les citadelles du vertige que sont les châteaux de Peyrepertuse et de Quéribus.

A Cucugnan, pas de curé en vue ...

Après Padern, les gorges du Torgan apportent un (dernier) rafraîchissement, car le col de Ferréol est particulièrement coriace et en fait transpirer plus d'un !
Après Palairac, il faut franchir les deux derniers cols, Gineste et Amiel, avant d'arriver à Quintillan, et d'aborder la grande descente sur Cascastel où nous attendent un apéritif (offert par la cave !) et le repas.

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Inutile de préciser que tout cela fut grandement apprécié, notamment la cuisine trois étoiles de notre chef préféré, Bernard.

Une heure de récupération, active pour l'estomac, c'est peu et beaucoup à la fois.
Car, après ça, il va falloir digérer la lonnnngue montée vers Albas, puis le col du Prat et enfin le col de Villerouge.

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Ouf ! Maintenant, descente à gogo.
Je m'arrête pour prendre en photo Talairan vu de très loin, Henri, décidément infatigable, m'attend pour me ramener sur le groupe qui dévale à toute allure.

Une dernière photo, un dernier verre, on reviendra !

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Au col de Termes

Le ravitaillement ...

... au col de BEDOS

Laroque de Fa, avant le col de Cascagne

Les Pyrénées, vues du col de Cédeillan

Duilhac-sous-Peyrepertuse

Cucugnan

Entre Padern et Maisons

A gauche vers Palairac

Une bonne tablée

Une autre

Bon appétit, Henri et Antoine !

Talairan, depuis la descente du col de Villerouge

Le retour à Lagrasse

Un demi bien mérité