RANDO DE QUILLAN

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Ce jeudi 29 mai 2014, toutes les conditions sont réunies
pour effectuer une splendide plongée dans le Pays de Sault :
les quatre ennemis du cyclo sont totalement absents,
à savoir la pluie, le vent, le froid et le soleil,
rien de tout ça, un miracle !
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A la lecture des parcours tracés par les organisateurs,
on avait tiqué, c'est à peu de choses près
ce que Vincent a prévu pour dimanche.
Qu'à cela ne tienne, un parcours peut toujours être modifié.
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Une seule contrainte : le ravito prévu à BELFORT-SUR-REBENTY.
On est donc parti à l'assaut (d'entrée s'il vous plaît)
du col du Portel, 5 km, toujours entre 5 et 8 %,
un bon échauffement pour débuter,
un col qu'on avait descendu mais jamais escaladé.
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S'en est suivi le col de Coudons, 6 km,
un col qu'on avait .... mais jamais ...
Après LA PEYRE, nous retrouvons (en descente) une petite route,
la D222, 2800 m, qui nous avait fait très mal aux jambes
il y a deux ans, on comprend maintenant pourquoi.
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Le ravito est juste à côté, à 2 km,
on n'a parcouru que 24 km mais déjà 700 m de dénivelé.
Cansalade et oeufs frits pour les carnivores,
confiture à la fraise pour nous autres.
Nous revenons sur nos pas
et nous dirigeons vers AUNAT et le col des Aychides situé à 8 km,
au passage un petit 12 % en guise de digestif.
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Après FONTANES-DE-SAULT, la route est admirable
avec ses lacets, ses tunnels, ses parois rocheuses
et les gorges profondes toutes proches !
Trois petits km sur la D118 (qui mène à GESSE)
et nous bifurquons à droite vers ESCOULOUBRE.
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C'est par là que se trouve le col de Garavel, 11 km,
pas spécialement dur mais tout de même à 1256 m d'altitude.
Au ravito, on nous avait mis en garde,
attention, vous risquez d'avoir froid vers le sommet,
il y aura peut-être du brouillard, ...
Ce ne sont pas ces conseils alarmistes qui vont nous décourager !
On y est allé, on n'a rien vu de tout cela,
au contraire, c'est un beau col champêtre,
qu'on avait escaladé mais de l'autre côté.
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Au sommet, au KM 53, c'est terminé, descente jusqu'à QUILLAN.
Les 1640 m de dénivelé sont atteints,
ils ne bougeront plus.
Nous traversons de charmants petits villages,
LE BOUSQUET, ROQUEFORT-DE-SAULT.
Un km plus loin, voilà le carrefour qui mène à droite vers le col de Jau
qu'on a projeté d'escalader incessamment sous peu.
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Les 3 km qui suivent, jusqu'à STE-COLOMBE-SUR-GUETTE,
sont carrément périlleux de par leur pente infernale.
Dire qu'il faudra monter par là pour aller vers le col de Jau ...
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Nous rejoignons à nouveau la D118,
mais la sortie n'est pas terminée pour autant
sur le plan de la beauté minérale
car voilà les gorges qui portent mon nom,
moins impressionnantes que Galamus mais tout de même ...
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A AXAT, il reste une douzaine de km,
le vent forcit tout-à-coup
nous obligeant à remettre du gaz.
Voilà QUILLAN, encore un petit sandwich,
un bon coca pour mieux l'assimiler,
un café pour la route,
et retour à NARBONNE.
Une journée comme celle-là,
on espère en vivre encore beaucoup.
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LAGRASSE GAROULLIERE HOMME MORT

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La sortie prévue samedi à GALAMUS ayant été reportée,
un parcours d'entraînement a été programmé à la place :
http://connect.garmin.com/activity/505781211
Malheureusement, mon cable de dérailleur avant s'est sectionné,
m'obligeant à effectuer les 25 derniers km sur le plateau de 24 dents,
ce qui explique les 91 t/mn de ma cadence de pédalage.
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Grâce à la réparation du vélociste CANDELA
le samedi après-midi (merci à lui !),
nous avons pu repartir le lendemain dimanche
pour un parcours au départ de LAGRASSE,
mon objectif étant cette fois d'économiser ma vélocité
qui a été mise à mal la veille.
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Trois principales difficultés répertoriées :
__ le col de la Garoullière de LABASTIDE-EN-VAL à CLERMONT-SUR-LAUQUET,
5 km avec des pourcentages toujours aux alentours de 7 %,
donc un col assez dur.
__ la montée vers VILLARDEBELLE, 3 km avec un final à 12 %
__ le col de l'Homme Mort, 5 km, assez facile
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Soleil voilé mais presque pas de vent,
idéal pour faire du vélo.
Les 8 premiers km le long de la rivière Sou,
affluent de l'Orbieu, avec de nombreux méandres,
sont toujours enchanteurs pour les yeux
et pour les oreilles (chant des oiseaux, très peu de voitures).
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Après VILLEMAGNE et RIEUX-EN-VAL,
nous surprenons deux beaux lapins à SERVIES-EN-VAL
qui bondissent dans la vigne proche, derrière en l'air.
Magnifique champ de coquelicots sur la gauche.
A partir de LABASTIDE-EN-VAL, belle église et belle fontaine,
commence le col de la Garoullière que nous commençons à connaître maintenant
mais toujours aussi agréable bien que difficile avec des 7 % à gogo.
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Michel, de ST-LAURENT, s'est posté dans un virage avec sa caméra
et attend l'armada des Lézignanais qui déboulent juste derrière nous.
Il a amené avec lui Apache, non ce n'est pas un Indien mais son chien.
De CLERMONT-SUR-LAUQUET à CAUNETTE-SUR-LAUQUET
un long faux-plat montant de plus de 2 km nous amène au carrefour D40/D529.
A gauche la Louviero et LAIRIERE, que vont emprunter les Lézignanais,
à droite VILLARDEBELLE avec une côte de 3 km au final (300 m) à 12 %.
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Là débute le col de l'Homme Mort sur presque 5 km avec des pourcentages à 4 ou 5 %
et des paysages majestueux (prés verts, vaches et veaux, ...)
D'autres coins agréables nous attendent plus loin,
vers BOUISSE puis MONTJOI
et c'est le retour classique par VIGNEVIEILLE,
ST-MARTIN-DES-PUITS, ST-PIERRE-DES-CHAMPS.
150 km et 1600 m de dénivelé en deux jours,
on n'a pas perdu notre temps
mais surtout ... on s'est régalé !!!
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TUCHAN MONTGAILLARD MASSAC MAISONS

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Voilà enfin un beau dimanche ensoleillé, sans pluie et sans vent !!!
Vite, direction TUCHAN, 50 mn en voiture,
on n'a jamais été déçus par le parcours.
Cette année encore, il s'avère un peu "casse-pattes",
tant mieux, on aime ça !
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A 7h05, personne encore sur le parking du stade,
personne non plus devant la cave ...
En fait, il faut se rendre juste à côté,
à la salle des Fêtes.
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Jean et ses acolytes sont là,
ils nous servent un bon café (brûlant comme je l'aime),
du chocolat, des tranches de quatre-quarts, ...
Je remplis les deux fiches d'inscription,
je tends 4 €, on m'en rend 2, gratuit pour les féminines !
C'est pas chevaleresque ça ?
C'est bon de retrouver des amis cyclos,
de parler des projets envisagés,
de discuter matériel, vêtements, ...
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Bon, on y va ?
Les 16 premiers km, par PADERN
et jusqu'au carrefour de MAISONS,
sont assez irréguliers, montées et descentes se succèdent.
Les choses sérieuses commencent ici.
2 km de côte avant MONTGAILLARD,
3 km après le village avec 13 % maxi.
Après cela, une descente à 16 % sur près de 1 km,
laisse imaginer ce que peut être l'autre versant.
A voir pour l'an prochain ...
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Attention, à ROUFFIAC-DES-CORBIERES,
un trail traverse le village, prudence !
A SOULATGE, nous attend le col le plus long, 7 km,
mais le plus facile, le col de Cédeillan.
Enfin, voilà le ravito à MASSAC au KM 42
où nous sommes très bien accueillis,
mais aussi assaillis par quelques chiens autochtones
qui exigent aussi leur part !
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Ne surchargeons pas trop l'estomac,
une côte courte, 2500 m, mais assez dure,
constitue la suite du menu,
j'ai nommé le col de la Cascagne
(mais non, pas de la Castagne ...).
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A LAROQUE-DE-FA, on prend à droite vers St Martin,
petit col très sympa d'un petit km,
pour atteindre DAVEJEAN.
Toujours à droite, vers le col de Prat,
même type que le précédent,
et longue descente jusqu'à MAISONS
où l'on grimpe la dernière difficulté,
le col de Ferréol avec un ultime km difficile.
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C'est terminé, ou presque, puisque les 15 km restants
sont en descente puis plats,
on peut libérer toute l'énergie qui nous reste,
on sait de toute façon qu'un bon apéro nous attend,
le retour s'effectue donc à vitesse grand V,
comme les chevaux qui regagnent leur écurie
où ils savent trouver une bonne ration d'avoine ...
Hi ! Han ! A l'an prochain !

 

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MINERVE LE BOUIS BOISSET COUSSES

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Comment réaliser un mini parcours avec un maxi dénivelé ?
Facile.
Il suffit de se garer à OLONZAC,
de sélectionner les côtes de MINERVE (par AZILLANET),
LE BOUIS, BOISSET, COUSSES, AUTHEZE, ST JULIEN DE MEULIERES.
Résultat final : 60 bornes pour 1200 m de dénivelé.
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Si on examine le profil,
on voit bien que les parties planes en sont absentes.
Que des montées, des descentes et des faux-plats.
De plus, les pourcentages de pentes
peuvent aller jusqu'à 15 % par endroits.
A ne pas négliger non plus, le revêtement des routes, plutôt rugueux.
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Je n'énumère pas toutes ces difficultés pour me plaindre,
bien au contraire, puisque je les ai choisies.
On s'était préparé moralement à affronter le vent,
il ne s'est pas manifesté autant que prévu,
par contre on a été surpris par plusieurs averses
qui n'étaient pas prévues par la météo.
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Du côté des températures, c'était également limite,
9° au plus bas, beaucoup moins en ressenti,
je me félicitais d'avoir enfilé mes jambières.
Heureusement, l'intensité du parcours, assez élevée,
a permis de nous réchauffer régulièrement.
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Quoi qu'il en soit, cette sortie
a constitué un bon galop d'entraînement
pour affronter dimanche 18
les redoutables côtes des Corbières
dispensées généreusement par les organisateurs de TUCHAN,
du côté de MONTGAILLARD, ROUFFIAC et MASSAC,
vous m'en direz des nouvelles ...
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OLONZAC CALAMIAC PEYREFICHE SALETTES

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Week-end chargé avec la fête des 90 Ans du club
demain dimanche 11 mai au départ du Parc des Sports,
et aujourd'hui une sortie vers le col de SALETTES.
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Nous avons trouvé ce circuit sur Openrunner,
il nous a plu, nous l'avons adopté.
Après vérification, il a été tracé par Philippe,
promis, nous lui paierons des Droits d'auteur
(s'il est raisonnable ...).
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Dès le départ, Lionel s'aperçoit
qu'il ne peut pas passer sur le petit plateau,
il est bloqué pour toute la sortie sur le 50 dents !
Heureusement, il n' y a pas aujourd'hui de gros pourcentages,
mais quand même, moi qui use et abuse des plateaux de 34 dents et 24 dents,
j'aurais sûrement souffert !
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Nous démarrons donc d'OLONZAC (parking municipal)
à 8h00 tapantes en direction de BEAUFORT,
puis contournons AZILLANET, CESSERAS, et SIRAN.
C'est à LA LIVINIERE que commnence véritablement la montée,
du KM 15 au KM 42, sommet du col de SALETTES, soit 27 km.
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Bien sûr, cette montée est entrecoupée
de descentes et de faux-plats,
de CALAMIAC à ST BENOIT,
de ST JULIEN DES MEULIERES aux FOURNELIERS.
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Les 12 km suivants, (du 25e au 37e) sont plus réguliers
par FERRALS LES MONTAGNES, PEYREFICHE et le ROC SUZADOU.
Au KM 37 on arrive à un carrefour :
on peut également accéder au col de SALETTES
en tournant à gauche en direction de  TINTEYNE,
COUCHON LE HAUT et CHIFFRE.
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On continue tout droit et on arrive au col après 5 km assez faciles.
C'en est pratiquement terminé pour le dénivelé,
plus de 1000 m tout de même pour 42 km.
Le reste n'est qu'une longue descente jusqu'à CAUNES MINERVOIS,
par LESPINASSIERE (très beau village perché et étagé) et CITOU,
de l'altitude 881 m à 188 m.
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Les 18 km restants vont nous permettre de descendre
jusqu'à 46 m à OLONZAC, par TRAUSSE et PEPIEUX.
Récupération de rigueur avant la sortie du lendemain,
départ du Parc des Sports à 7h45,
en espérant que le cers ne viendra pas chambouler ce projet.
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CASTELLAS TELEGRAPHE

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Deux jours après la reconnaissance hyper physique
du parcours de la Voie Domitienne,
je décide de me rendre au restau
pour me refaire une santé.
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Le serveur me tend la carte et je choisis :
en entrée, 1 Four à Chaux ;
en plats de résistance, 1 Castellas et 1 Communal ;
au fromage, 1 Télégraphe ;
pour arroser le tout, 1 Mourel Redon.
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"Vous ne prenez pas de dessert ?
__ Gourmand comme je suis ! Que proposez-vous ?
__ 1 gros gâteau Pech Loubat à 19 %.
__ 19 % de matière grasse ?
__ Non, non, 19 % de pente.
__Ah ! Bon ! Vous m'avez fait peur !"
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Aussitôt dit, aussitôt fait.
Me voilà parti par le chemin de la Grotte de Cristal,
puis sur le chemin des Fours à Chaux,
goudronné sur un bon km.
Plus loin, je croise des véhicules
en train de décharger des quads,
ça va pétarader dans un moment !
__ Il faut du courage pour venir par ici, me dit l'un d'eux.
__ Oui, mais je suis habitué.
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La 1ère difficulté sérieuse intervient au KM 4 environ,
sous la forme d'une côte de 150 m à 16 %.
Les montées et les descentes s'enchaînent donc
jusqu'au KM 7 où il faut passer sous l'A61,
dans un tunnel d'une cinquantaine de m,
avant de rejoindre le domaine d'Aussières.
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Une pause bien méritée de 2 km,
et je me retrouve à nouveau dans la caillasse
jusqu'au poste de gaz.
Une longue montée de 1,6 km m'attend
avec des pentes à 12 %.
J'ai effectué la moitié du parcours,
je tourne à gauche vers Mourel Redon.
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Après 500 m, au lieu de tourner à droite
et continuer le long de la corniche,
je prends le chemin du milieu,
et traverse le bois sur un bon km.
400 m plus loin, je débouche sur le chemin
qui mène à gauche vers Jonquières,
à droite vers Figuerolle.
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Je longe une vigne puis me hisse dans la garrigue
où les côtes se succèdent à nouveau,
je frôle l'ancien télégraphe
au-dessus de Rochegrise,
et aboutis enfin à Montplaisir.
Comme promis, j'ai eu droit
à une énorme part de gâteau Pech Loubat,
un mets que l'on déguste lentement,
pas plus de 5 ou 6 km/h !
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Ce week-end est prévue une sortie à Salettes
et le lendemain la Rando des 90 Ans du club.
Il faut en profiter tant que la météo
et la forme sont favorables.
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REPERAGE VOIE DOMITIENNE

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Samedi 24 mai est organisée une sortie VTT
au départ de MONTPLAISIR et dans le massif de FONFROIDE.
Ce sont mes terrains de jeux favoris,
j'ai donc tenu à me renseigner sur les parcours présentés.
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Audrey SUBRA (Mairie de NARBONNE)
m'a gentiment transmis un plan d'ensemble.
J'ai pas mal bricolé avec Google Earth
pour tracer les circuits et les transformer
en fichiers gpx compatibles avec les GPS.
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Ce matin donc, mardi 6 mai, sur le coup de 9h15,
je décide de tester le tracé de 26 km.
Je me suis aperçu après coup que j'avais commis
une petite erreur au KM 15, j'ai zappé
Pech Rascas et la Serre de l'Escalier,
le parcours totalise bien 28 km en réalité.
Voici le lien Openrunner du circuit corrigé :
http://www.openrunner.com/index.php?id=3580701
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On attaque d'entrée avec les 3 km de montée
jusqu'au pont de l'autoroute.
On enchaîne ensuite avec les 2,5 km de goudron
par JONQUIERES jusqu'au poste de gaz.
Là, les choses sérieuses peuvent commencer.
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En 3 km, dans la pinède de FONTLAURIER
et près de la Source du Renard,
on passe de 100 m d'altitude à 250 m,
soit 5 % de moyenne certes
mais avec des pointes jusqu'à ... 17 % !
Sans parler des cailloux ou plaques rocheuses
qui entravent la bonne marche du vélo.
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2 KM de descentes (ou presque) m'amènent
jusqu'à la route menant à l'abbaye de FONTFROIDE.
Bien avant d'y arriver, il faut prendre à droite
vers la Combe du Moulin et le bois de LOUMET.
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3 km de montée et l'on passe de 98 m à 238 m,
encore 5 % de moyenne, mais ... succession de "talus".
Après 1,5 km de descente, j'attaque la rude montée
de La Quille sur 1 km.
C'est une erreur de ma part,
j'aurais du continuer vers Pech Rascas
et la Serre de l'Escalier, 2 KM de plus.
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Je suis dorénavant sur le Chemin Communal,
ce n'est pas un cadeau car les roues patinent
à qui mieux mieux sur du gravier sablonneux (1 km).
Enfin, voilà le carrefour du Roc de Fontfroide,
puis celui de la Combe d'Enfer, on peut respirer.
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Ce n'en est pas fini pour autant.
Je prends à droite vers Mourel Redon,
2 km de chemin cassant, que de secousses !
A gauche le domaine de Jonquières,
il faut donc tourner à droite vers Figuerolles.
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Je n'ai pas toujours les yeux rivés sur la carte GPS,
je rate un chemin à droite,
je me retrouve au fond d'une vigne, l'impasse.
C'est le seul couac de la matinée, vite réparé.
Je passe la Crête Douce, qui porte mal son nom,
et je plonge sur Montplaisir 2 km plus loin.
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Il ne me reste plus qu'à remonter vers les Hauts de Narbonne,
mais c'est une autre histoire.
Qui veut m'accompagner pour la prochaine expédition,
et tâter de visu aux belles petites bosses
du parcours concocté par les organisateurs
de la Voie Domitienne version 2014,
avec ses 750 m de dénivelé dans la caillasse,
je suis prêt à servir de guide.
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